de viris illustribus suétone
Seuls quelques-uns de ces titres nous sont parvenus, et l'histoire n'a retenu de l'oeuvre de Suétone que le De viris illustribus, une série de courtes biographies des figures littéraires romaines les plus célèbres, et ses Vies des douze Césars, biographies beaucoup plus … Les indications sur lui et sa famille dans la tradition littéraire provenaient de cinq allusions dans ses ouvrages[1], six Lettres de Pline le Jeune[2], une mention du pseudo-Spartien dans la Vie d'Hadrien[3], une phrase de Jean le Lydien[4]. Suétone, traduction française de Baudement, 1845, Paris. Le style de Suétone est froid et sans grand ornement. Note : Ensemble de biographies d'hommes de lettres romains, classées par catégories : "De grammaticis et rhetoribus", "De poetis", "De oratoribus", "De … Ce trait de superstition explique l'importance attachée par le biographe aux présages qui annonçant de grands événements dans la vie de ses héros. Cet ouvrage est consacré aux gloires de la littérature latine. Suétone fut un auteur très fécond, si l'on en croit la longue liste d'ouvrages que la Souda et certains auteurs lui attribuent. Pourtant nous le voyons exercer des charges importantes à la cour d'Adrien (après 117) : secrétaire particulier, intendant des bibliothèques, enfin chef de la correspondance impériale. Cependant, Suétone porte peu d'intérêt à l'histoire et à l'administration de l'Empire ; il ne s'intéresse qu'aux actes et à la personnalité des premiers Césars, et plus particulièrement à leurs vices et à leurs travers, ce qui a valu à Suétone, selon le jugement d'Alexis Pierron, la réputation de colporteur d'histoires d'antichambre, de rumeurs dont l'authenticité est souvent douteuse. Il semble cependant que Suétone réussit à se faire dispenser du service militaire. La dernière modification de cette page a été faite le 8 janvier 2021 à 15:02. Philo-lettres de Michèle Tillard est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 3.0 non transcrit. Dict. Un passage du pseudo-Spartien nous apprend que Suétone, malgré les relations amicales qu'il avait toujours entretenues avec Hadrien, subit en 121-122 une disgrâce brutale et définitive en même temps que son protecteur le préfet du prétoire Caius Septicius Clarus. Cette charge permit notamment à Suétone d'avoir accès aux archives impériales. discussed in biography. Suétone conclut par son physique et sa vie privée. Suivent les notices biographiques d'Aelius Stilo, de son gendre Servius Clodius et de 19 autres grammairiens, jusqu'à Valérius Probus, contemporain de Néron. Néanmoins, sa Vie des douze Césars présente un grand intérêt pour l'historien de l'Antiquité, car elle nous donne sur le premier siècle de l'empire des renseignements précieux, qui ne se rencontrent point ailleurs. Cette charge permit notamment à Suétone d'avoir accès aux archives impériales. Suétone donne des renseignements biographiques sur ces professeurs, mais il est muet sur leurs théories et leurs enseignements grammaticaux proprement dits[20]. La part des archives dans l'œuvre de Suétone est néanmoins discutée, et jugée moins importante par Andrew Wallace-Hadrill et par Luc de Coninck[22]. Sur la base, en fait, les fragments cités dans les auteurs plus tard, vous pouvez décrire la structure du travail:. Il ne possède ni l'intelligence politique ni la pénétration de Tacite, dont l'œuvre est teintée du pessimisme qu'il conçoit devant la décadence des moeurs politiques romaines, qu'il attribue à l'avènement du pouvoir impérial absolu à partir d'Auguste. Un best-seller du manuel scolaire, dans une nouvelle traduction destinée à tous ceux qui voudraient... retrouver leur latin. The work consists of a prologue plus 135 chapters, each consisting of a brief biography. Entre 119 et 122, paraît la Vie des douze Césars, point culminant de sa carrière. Il est divisé en cinq parties : Parmi les poètes, on n'a conservé que des éléments des Vies de Térence, de Virgile, d'Horace et de Lucain, transcrites sur certains manuscrits des œuvres de ces auteurs. Son étoile littéraire pâtit surtout de la comparaison avec celle de son contemporain, Henri Ailloud, introduction à son édition des, Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Suétone&oldid=178565072, Date de naissance incertaine (Ier siècle), Article contenant un appel à traduction en anglais, Article contenant un appel à traduction en italien, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page utilisant le modèle Bases littérature inactif, Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts, Portail:Biographie/Articles liés/Entreprises, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, les signes d'abréviation employés par les grammairiens pour leurs annotations des textes étudiés, les mots injurieux et expressions moqueuses, les charges officielles dans l'administration romaine, un traité en deux livres sur les usages et les mœurs des Romains, dont il ne reste qu'un fragment, deux livres sur les jeux publics des Romains. Cette charge permit notamment à Suétone d'avoir accès aux archives impériales. Ces ouvrages ne sont connus que par leurs titres ou par quelques citations fragmentaires. Pompeio et C. Memmio, sed cum codicillos Memmi ad Pompei uxorem de stupro pertulisset, proditus ab ea Pompeium offendit domoque ei interdictum est. Nous savons très peu de choses de la vie de Suétone. Les Vies de Tibulle et de Perse sont peut-être également de sa main. Le De grammaticis et rhetoribus (Sur les grammairiens et les rhéteurs) est un opuscule de l'historien romain Suétone. L'ouvrage sur les grammairiens et les rhéteurs a été conservé, à l'exception de la fin. Il rédige alors son premier livre, le De Viris illustribus (paru vers 113). Les hommes illustres de la ville de Rome, est un livre historique anonyme compilant les biographies de grands hommes de lantiquité romaine, des fondations légendaires de Rome jusquau début de lempire. De viris illustribus (Lhomond) Le De viris illustribus urbis Romæ a Romulo ad Augustum (« Des hommes illustres de la ville de Rome, de Romulus à Auguste ») ou, plus simplement, De viris illustribus, ou encore De viris est un manuel de latin à l'usage des classes de sixième (première classe du collège) rédigé en 1775 par l'abbé Lhomond (1727-1794), qui est resté en usage en France jusqu'à la fin des années 1960. avec des notes en français, un lexique des mots latins rangés par familles et un vocabulaire historique par V. Espitallier,... -- 1880 -- livre Entre 119 et 122, paraît la Vie des douze Césars, point culminant de sa carrière. les Hommes illustres. 75 ACN - 160 PCN. Suétone est un érudit et un polygraphe, qui a écrit de nombreux livres, en grec et en latin, sur toutes sortes de sujets : histoire naturelle, grammaire, archéologie… Mais c’est surtout par ses biographies qu’il est connu. Une des lettres de son ami et protecteur Pline le Jeune nous présente Suétone, alors âgé d'environ 28 ans, comme scholastichus, soit homme d'étude[11]. Cette charge permit notamment à Suétone d'avoir accès aux archives impériales. L'introduction est un rappel historique sur Cratès de Mallos, ambassadeur de Pergame en 168 av. À la mort de Pline le Jeune, en 113, Suétone s'attache à un nouveau protecteur, Caius Septicius Clarus, qui lui obtient sous Hadrien l'importante fonction de secrétaire ab epistulis latinis[5] (c'est-à-dire responsable de la correspondance de l'empereur en langue latine). J.-C., où Vitellius triompha[10]. À cela, il faut ajouter une inscription trouvée à Bône, aujourd'hui Annaba, l'antique Hippone (Hippo Regius), découverte en 1950, dans le forum d'Hippone, c'est une dédicace retranscrivant ses principales charges mais l'inscription est mutilée et fragmentaire[5],[6],[7]. Il fut publié avec Les Douze Césars car la documentation est plus précise pour les biographies impériales[19]. Les souverains étrangers / Les dirigeants romains; Les capitaines des pays / Les capitaines Romains étrangers; Les orateurs grecs / Les orateurs romains Il rédige alors son premier livre, le De viris illustribus (paru vers 113). Le récit est relevé par des détails et des anecdotes, parfois triviales, et quelque peu exagérées sinon inventées. De Viris Illustribus, meaning "concerning illustrious men", represents a genre of literature which evolved during the Italian Renaissance in imitation of the exemplary literature of Ancient Rome.It inspired the widespread commissioning of groups of matching portraits of famous men from history (Uomini Famosi) to serve as moral role models. Date : 105. De viris illustribus (latin) Langue : latin. Selon Spartien, cette disgrâce serait due à un manquement à l'étiquette de la cour vis-à-vis de l'impératrice Sabine[3]. Il commença à publier des œuvres en 105-106[14]. Save for Later. Son étoile littéraire pâtit surtout de la comparaison avec celle de son contemporain Tacite, l'auteur des Histoires et des Annales, considéré comme le plus grand historien latin. Entre 119 et 122, paraît la Vie des douze Césars, point culminant de sa carrière. Kastner, Gottingen, 1900. De viris illustribus urbis Romae a Romulo ad Augustum (Nouveaux extraits de Tite-Live, Florus, Suétone etc.) lustres subdividint-les en cinc categories: poetes, oradors, historiadors, filòsofs, gramàtics i retòrics (aquests dos grups formant una sola categoria). Il appartenait à une famille équestre aisée ; il fut d’abord avocat sous Trajan (98-117), puis, grâce à l’appui de son ami Pline le Jeune, il devint secrétaire ab epistulis latinis de l’empereur Hadrien : il dirigeait alors tous les bureaux chargés de la correspondance administrative de l’empire, et avait accès à toutes les archives. Dans le premier de ces ouvrages, Suétone nous a raconté la biographie de César , Auguste , Tibère , Caligula , Claude , Néron , Galba , Othon , Vitellius , Vespasien , Titus et Domitien . J.-C., qui donna les premières conférences sur la matière durant son séjour à Rome. la De viris illustribus est une collection de biographies dans seize livres divisés en sections. Il faut toutefois considérer que Suétone procède par énumération d'événements regroupés sans tenir compte de leur chronologie, tandis que les annalistes comme Tite-Live et Tacite ont plus de facilités pour leur effets stylistiques en détaillant les péripéties de leur narration[34]. J-C, sous le règne de Vespasien. Mais c’est surtout par ses biographies qu’il est connu. Le style de Suétone est froid et sans grand ornement. De viris illustribus urbis Romae, litt. Suétone est un érudit et un polygraphe, qui a écrit de nombreux livres, en grec et en latin, sur toutes sortes de sujets : histoire naturelle, grammaire, archéologie…. En tant que secrétaire d'Hadrien, Suétone avait accès aux archives impériales, ce qui lui permettait de consulter les sources contemporaines telles que les procès-verbaux des séances du Sénat, les senatus-consultes, des lettres et des testaments d'empereurs. S’il se réfère à des sources sûres et authentiques, nous donnant ainsi un témoignage très précieux, il peut aussi être considéré comme un précuseur de la presse people…. Henri Ailloud juge défavorablement le style de Suétone[33]. De viris illustribus (Des hommes illustres), parfois abrégé en DVI, est le titre de plusieurs ouvrages : De viris illustribus, de Cornélius Népos, une « histoire des grands hommes » en 16 volumes dédiée à Atticus dont ne reste que Des capitaines remarquables des pays étrangers ; De viris illustribus, un recueil de Suétone, dont l'essentiel est perdu, sauf la cinquième partie, De grammaticis et rhetoribus ; Petrarca de viris illustribus. C. Suetonius Tranquillus, ami de Pline le Jeune, secrétaire de l'empereur Hadrien, ensuite tombé en disgrâce, occupa, par l'écriture, la fin de sa vie. Suétone : vie et extraits. Nous savons très peu de choses de la vie de Suétone. Contrairement à César, Salluste, Tite-Live, ou encore son contemporaine Tacite, Suétone ne cherche pas à bâtir une fresque historique ; il s’intéresse peu aux événements généraux, donne peu de place au peuple ou au Sénat, et concentre son attention sur la personnalité de l’Empereur, dont il dresse un portrait physique et moral. [2] Fuit et M. Ciceronis familiaris, in cuius epistula ad Dolabellam haec de eo legimus: «Nihil Romae geritur quod te putem scire curare, nisi forte scire vis me inter Niciam nostrum et Vidium iudicem esse. De tout ce qu'a écrit Suétone, il n'y a lieu de retenir que les Vies des douze Césars (Vitae Caesarum) et le De Viris illustribus. Il nous reste aujourd’hui : Quelques fragments de son De Viris illustribus ; une Vie de Térence ; Une lettre en 97 indique que Suétone devait être avocat mais sa carrière devait être brève[12] ; une autre, écrite vers 101, nous montre Suétone briguant pour un ami un poste de tribun militaire dans l'état-major de Lucius Neratius Priscus qu'il a lui-même exercé[12],[13], condition nécessaire pour pouvoir prétendre à la carrière équestre. La prose de Suétone est celle d'un compilateur, qui ne manifeste de l'émotion qu'avec circonspection. - DLL (sous : Suétone) : De viris illustribus . Entre 119 et 122, paraît la Vie des douze Césars, point culminant de sa carrière. Ils portent sur les sujets suivants[24] : Ces quatre derniers ouvrages formaient probablement un tout encyclopédique intitulé Rome[32]. Mais la grande majorité de l'œuvre est perdue. 130 _ 0 ‡a De viris illustribus urbis Romae 130 _ 0 ‡a De viris illustribus urbis Romae 130 _ 0 ‡a Hommes illustres de la ville de Rome 230 _ _ ‡a Hommes illustres de la ville de Rome Les hommes illustres de la ville de Rome, est un livre historique anonyme compilant les biographies de grands hommes de l' antiquité romaine, des fondations légendaires de Rome jusqu'au début de l' empire. L'inscription d'Hippone montre que Suétone, avant de devenir ab epistulis, avait occupé deux autres procuratèles ducénaires (c'est-à-dire gratifiées d'un salaire annuel de 200 000 sesterces) dans l'administration centrale de l'empire : il avait été a studiis (responsable des archives et de la documentation) et a bibliothecis (responsable des bibliothèques de Rome)[5]. De viris illustribus (Des hommes illustres), parfois abrégé en DVI, est le titre de plusieurs ouvrages : . Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tout en considérant ces dernièrs comme un livre des plus curieux, on ne peut les ranger parmi les ouvrages d'histoire. Il faisait partie d'un ensemble plus vaste (De viris illustribus), dont l'essentiel est perdu. Gaius Suetonius: De viris illustribus [On Illustrious Men] (106 - 113) Remy Poignault (Université de CLERMONT-FERRAND 2); Revised By: Remy Poignault (Université de CLERMONT-FERRAND 2) Genre: Biography (literary). Il rédige alors son premier livre, le De viris illustribus (paru vers 113). Toujours est-il que nous ne savons plus rien de Suétone après cette date ; sans doute a-t-il vécu dès lors dans la retraite, en se consacrant tout entier à ses travaux de grammaire, de littérature et d'histoire. Nous avons gardé les Vies des douze Césars et une partie du De Viris illustribus. Il fut également pontife de Vulcain[16]. 39 relations. Son père, Suetonius Laetus, était tribun angusticlave de la treizième légion et combattit dans l'armée d'Othon à la bataille de Bedriacum en 69 apr. Jerome himself is the subject of the final chapter. De viris illustribus (English: On Illustrious Men) is an unfinished collection of biographies, written in Latin, by the 14th century Italian author Francesco Petrarca.These biographies are a set of Lives similar in idea to Plutarch's Parallel Lives.The works were unfinished. des auteurs grecs et latins de l'Antiquité et du Moyen âge / W. Buchwald, A. Hohlweg, O. Prinz, 1991 (sous : Suétone) : Les hommes célèbres ; De viris illustribus . De Viris Illustribus (On Illustrious Men) is a collection of short biographies of 135 authors, written in Latin, by the 4th-century Latin Church Father Jerome.He completed this work at Bethlehem in 392–3 AD. Seule nous est restée la majeure partie de la dernière division sur les grammairiens et les rhéteurs, dont la fin a été perdue. Son règne est rapporté par thèmes modulés selon les personnages et sans souci de chronologie : ses campagnes militaires, ses constructions, son action judiciaire, ses crimes politiques, sa fin et à nouveau les présages qui l'annoncent. J.-C.[9], d'une famille appartenant à l'ordre équestre. De viris illustribus urbis Romae, litt. Il meurt après 122, sans que l'on sache l'année[17], vraisemblablement autour de 130, mais peut-être jusqu'à 160. Il rédige alors son premier livre, le De viris illustribus (paru vers 113). L'ouvrage peut être reconstitué à travers la traduction de la Chronique d'Eusèbe par Saint-Jérôme qui utilise Suétone comme source[21]. licence Creative Commons Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 3.0 non transcrit. Il avait renoncé, de très bonne heure, à accepter de plaider des causes, comme il avait eu la tentation de le faire en sa jeunesse. On peut faire faire des exposés aux élèves sur César et sur l'armée romaine. Il ne possède ni l'intelligence politique ni la pénétration de Tacite, dont l'œuvre est teintée du pessimisme qu'il conçoit devant la décadence des mœurs politiques romaines, qu'il attribue à l'avènement du pouvoir impérial absolu à partir d'Auguste. Suétone (Caius Suetonius Tranquillus), historien latin, né à Rome, ... Tous sont perdus, à l'exception d'une petite partie du De viris illustribus et des Vies des douze Césars. Ce plan devient un modèle pour un genre historique différent des annales, les Vies d'empereurs et de princes[35]. Suétone était un scholasticus , un homme de bibliothèque. Suétone. s'est inspiré de Suétone, Vies des douze Césars, I, XLV sq. Genre ou forme de l’œuvre : Œuvres textuelles. Selon une formule fameuse d'Alexis Pierron, Suétone avait écouté aux portes et souvent mal entendu ce que l'on disait[23]. Le titre n'est pas connu avec certitude d'où également les intitulés alternatifs de Virorum illustrium libri et Virorum illustrium liber[18]. La fortune historique de Suétone est considérable : les vies des empereurs et des usurpateurs de l'Histoire Auguste s'inspirent de ce canevas[35] ; au Moyen Âge, Eginhard s'en inspire pour écrire l'histoire de Charlemagne et de ses héritiers ; ses ouvrages sont ensuite réédités pendant la Renaissance, dès la naissance de l'imprimerie. À cela, il faut ajouter une inscription trouvée à Bône, aujourd'hui Annaba, l'antique Hippone (Hippo Regius), découverte en 1950, dans le forumd'Hippone, c'est une dédicace retranscrivant ses principales charges mais l'inscription est mutil… Cependant, les récits des historiens romains postérieurs au règne de Néron, tels Suétone, Dion Cassius et Tacite, soulèvent une multitude d'interrogations sur la fiabilité de ces témoignages de « seconde main »[36]. nécessaire]. Vers 105-106, il travaille à une publication, peut-être le De viris illustribus (Pline, ibid., V, 10), recueil de brèves biographies consacrées à des hommes de lettres. From Coenobium Libreria antiquaria (Asti, Italy) AbeBooks Seller Since 04 June 2007 Seller Rating. en latin De viris illustribus. Entre 119 et 122, paraît la Vie des douze Césars, point culminant de sa carrière. Suétone (en latin Caius Suetonius Tranquillus) est un haut fonctionnaire romain, membre de l'ordre équestre, auteur de nombreux ouvrages dont la Vie des douze Césars qui rassemble les biographies de Jules César à Domitien. Cet ouvrage inspira labbé Lhomond pour son fameux livre éducatif éponyme, même si on accuse lauteur de plagiat. Les indications sur lui et sa famille dans la tradition littéraire provenaient de cinq allusions dans ses ouvrages , six Lettres de Pline le Jeune , une mention du pseudo-Spartien dans la Vie d'Hadrien , une phrase de Jean le Lydien . Suétone naît probablement, mais sans certitude[8], à Rome vers 69-70 apr. C'était un érudit qui a écrit sur les sujets les plus divers, un polygraphe animé d'une incroyable curiosité, qui possédait un savoir encyclopédique à la manière de Varron. However he was famous enough for these and other works to receive two invitations to be crowned poet laureate. Published by W. Fr. Traité d'histoire de saint Jérôme (393).. Saint Jérôme, Père de l'Église écrit la première histoire chrétienne connue, en reprenant le titre d'un ouvrage de Suétone qui dressait la liste des auteurs profanes. Mais il y ajoute les soucis d'érudition de son temps.Suétone s'adonna avec prédilection au genre biographique, puisque, outre la vie de Jules César et des onze premiersempereurs, il a écrit De viris illustribus (Des Hommes illustres), dont il nous reste la partie … …and antiquarian whose writings include De viris illustribus (“Concerning Illustrious Men”), a collection of short biographies of celebrated Roman literary figures, and De vita Caesarum ( Lives of the Caesars ). Suétone suit un plan immuable : il évoque d'abord la famille de l'empereur et ses ancêtres illustres, sa naissance et les présages qui annoncent sa destination à l'empire, ses jeunes années, puis sa carrière publique. Cette charge permit notamment à Suétone d'avoir accès aux archives impériales. Mais la critique reconnaît généralement la vivacité des portraits de Suétone, rédigés dans une prose simple et précise, visant avant tout à l'efficacité, et dépourvue de la phraséologie archaïque et précieuse qui encombre la littérature contemporaine.[réf. C'est dans cette retraite que le poète José-Maria de Heredia, dans le sonnet des Trophées intitulé Tranquillus, montre Suétone méditant sur Néron, Claude, Caligula, et décrivant « les noirs loisirs du vieillard de Caprée ». la De viris illustribus ("The Fame"), qui trouve un précédent clair Cornelio Nepote, analyse les chiffres de personnalités célèbres dans le domaine culturel, en les divisant en cinq catégories: les poètes (de poetis), Grammarians et rhéteurs (De grammaticis et rhetoribus), Haut-parleurs (de oratoribus), Historiens (de historicis) Et les philosophes (de philosophis). Fernand Delarue souligne la « force des effets » et la « durable popularité » de Suétone[37]. structure. Ein Beitrag zur Geschichte der humanistischen Studien A. Viertel. In Suetonius. La prose de Suétone est celle d'un compilateur, qui ne manifeste de l'émotion qu'avec circonspection. Par ailleurs, son ami Pline le Jeune lui fit obtenir de l'empereur Trajan en 112 le privilège accordé aux pères de trois enfants, bien qu'il n'en eût aucun[15]. Il a vécu à la fin du Ier et au début du IIe siècle. Tombé en disgrâce en 122, il se retira et se consacra à son œuvre. Présentation du De viris illustribus de Suétone. Caïus Suetonius Tranquillus naquit à Rome, probablement en 69 ou 70 ap. Il rédige alors son premier livre, le De viris illustribus (paru vers 113). De viris illustribus urbis Romae, Les hommes illustres de la ville de Rome est un livre historique anonyme compilant les biographies de grands hommes de l'antiquité romaine, des fondations légendaires de Rome jusqu'au début de l'empire.